Gérer la souffrance de grands parents

La mort physique, il suffit de la toucher du bout du doigt pour l'apercevoir autrement pour la vivre autrement, changer son regard et le rendre impénétrable. Sans aborder, les côtés personnels, les morts brutales, surtout celles des sujets très jeunes, semblent intolérables : « le pourquoi » sans réponse. Le sentiment d’injustice est très fort, le côté inéluctable est difficile à accepter. Pourtant, dans cette grande souffrance, la réalité est incontournable. L’AMOUR dans l’acceptation des êtres, de notre entourage et de soi sont là pour nous aider à progresser et à poursuivre notre élévation vers une vie plus douce cependant sans oublier.
Oui, dans le cas précis de la disparition d’un jeune, la transmission des grands-parents s’éteint. Dans le silence, reste la juste mémoire d’un sourire, d’une étreinte, de grandes émotions positives et de beaux souvenirs.